Thursday, March 28, 2024 15:45:00

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Alors que Beau Plan prend vie petit à petit, les équipes de Novaterra se sont attaquées ces derniers mois à une étape incontournable de son développement : nommer toutes ses rues, avenues et impasses pour parfaire son statut de ville ! Revenons ensemble sur ce travail d’ampleur.

Rue des Lumières, avenue de l’Observatoire, avenue du Musée… Bientôt, ces noms ne vous seront plus étrangers. En effet, d’ici quelques semaines, les rues de Beau Plan arboreront fièrement leur nouveau nom, imaginé conjointement par les équipes de Novaterra et de l’agence de branding mauricienne OXO.

Fruit d’une longue réflexion, chacun des noms choisis a été retenu pour sa simplicité et son côté évocateur, en lien avec le patrimoine de Beau Plan : « Nous voulions rattacher les noms des rues à des ancrages historiques, culturels, naturels et industriels de la région pour rendre hommage à ce patrimoine qui nous est cher », explique Emeric Vigier de Latour, Communications Manager chez Novaterra.

À chaque rue, sa propre histoire
Ainsi, certaines rues font référence aux lieux qu’elles bordent – comme l’avenue du Musée qui mène à L’Aventure du Sucre, ou bien l’avenue de Mon Rocher, qui longe les écuries en bordure de Beau Plan.

D’autres font un clin d’œil à la culture, si importante pour la ville : la rue des Lumières rend ainsi hommage à l’installation artistique qui prend vie chaque soir sur le lac de Beau Plan, le Champ des Lumières, réalisée par Move For Art. Une belle occasion de souligner l’engagement du groupe Terra pour le rayonnement de la région en matière d’arts et de créativité !

D’autres, enfin, font un clin d’œil à son histoire. C’est le cas de l’avenue de l’Observatoire, qui rappelle un fait peu connu de Beau Plan : « Au 19e siècle, les Anglais avaient bâti un observatoire astronomique à Pamplemousses. Il a été démoli vers 1960. La société Harel Frères a alors été contactée pour récupérer les matériaux, et a réutilisé les pierres dans le lac pour séparer les différents bassins grâce à des murets », explique Emeric.

Un travail signalétique essentiel
Comme un devoir de mémoire, les rues de la ville invitent à une balade dans le temps pour découvrir de savoureuses anecdotes. Mais au-delà de cet aspect sympathique, nommer les rues remplit aussi une mission importante : celle de guider les visiteurs et de permettre aux résidents de se repérer plus facilement ! « Développer la ville de manière réfléchie passe par une bonne organisation des quartiers et des rues », explique Emeric Vigier de Latour.

Dans cette idée, le design de toute cette nouvelle signalétique sera en accord avec celle préexistante dans les rues de la ville, afin d’assurer une cohérence esthétique tout en soulignant le cachet industriel de Beau Plan.

Ayant à cœur le développement durable, la quête pour un avenir plus vert a toujours été, pour L’Aventure du Sucre, plus qu’une mission : c’est une passion. Ces principes d’engagement vert, cristallisés dans l’ADN du site, sont, en janvier 2023, formalisés avec l’adoption d’une charte de développement durable. Ses trois missions majeures : la promotion d’une éducation de qualité, la protection du patrimoine culturel et naturel, et l’incitation à une consommation et une production responsables.

Reconnaissance et Formation : pour une économie circulaire
L’année 2023 a marqué un tournant pour L’Aventure du Sucre avec l’obtention du label Made in Moris, reconnaissant ainsi son engagement envers la qualité, la durabilité et les circuits couts. Parallèlement, une série de formations internes ont été lancées, visant à immerger encore plus l’équipe dans les concepts du développement durable et de l’économie circulaire. Ces initiatives reflètent l’ambition de perpétuer une culture d’entreprise toujours plus ancrée dans le respect de l’environnement.

Unis par la Durabilité : le Comité de Développement Durable
Sous l’impulsion de Nicolas Maigrot, CEO de Terra, et à la suite du Sustainability Summit du groupe en 2023, L’Aventure du Sucre a établi son propre comité de développement durable. Ce comité est au cœur de l’engagement de l’organisation, veillant à l’alignement de ses actions avec les Objectifs de Développement Durable (ODD) et de 22 indicateurs clés deperformance.

De nombreuses actions d’amélioration ont récemment été mises en place à travers les propositions du comité. Parmi celles-ci, on retrouve par exemple l’adoption du zéro déchet au Village Boutik. En plus d’offrir des produits gourmets Made in Moris ainsi que des réalisations d’artisans mauriciens, la boutique propose aujourd’hui des gobelets compostables pour la dégustation de sucres spéciaux, et des bâtonnets en bois pour la dégustation du miel, de la confiture ou encore de la vanille. Ceux-ci sont ensuite collectés, puis récupérés et recyclés par un agriculteur de la région pour faire du compost.

La réduction de la consommation en papier est aussi l’un des chevaux de bataille de L’Aventure du Sucre. En ce sens, un groupe WhatsApp a été créé avec les 60 collaborateurs du site, facilitant une communication rapide et respectueuse de l’environnement. Chaque petit geste compte dans la grande aventure de la durabilité !

Un engagement constant de la part de tous
Les « Champions » de chaque département, soutenus par les responsables de chaque département et la directrice du site, jouent un rôle important dans les propositions d’amélioration et leur mise en œuvre des pratiques durables au sein de leurs équipes. Leur leadership inspire et motive toute l’organisation à avancer unie vers un avenir durable. L’implication active de chaque membre de l’équipe souligne l’importance accordée à la durabilité, intégrant les initiatives vertes à tous les niveaux de L’Aventure du Sucre.

À travers ces prises de position, L’Aventure du Sucre entend transformer chaque visite du site patrimonial en une opportunité d’impact positif pour l’île, mais aussi ses habitants. Une démarche fortement influencée par une culture d’entreprise résolument plus verte!

Lancée par Grays en 2003, la gamme de rhums New Grove, pionnière en son genre, n’a de cesse de représenter, à travers ses arômes et senteurs, l’âme même de notre île. Désignés comme étant des rhums « 5 étoiles », ses produits respectent des procédés de production stricts, issus d’un héritage riche et d’un savoir-faire inégalable.

« Nous nous situons à chaque étape de production de notre rhum, ce qui octroie non seulement une meilleure visibilité et traçabilité de nos produits, mais aussi une garantie de son excellence », commence Florence de Coriolis, Assistant Rum Brand Manager chez Grays. En effet, tout le travail est fait en interne. Culture de la canne, usinage, distillation, vieillissement et assemblage avant la mise en bouteille, puis la commercialisation… Ces cinq piliers constituent les cinq étoiles d’excellence de la marque New Grove.

Ce savoir-faire, qui s’est peaufiné à travers deux siècles d’expertise dans le domaine de la canne, commence en effet au champ. « La canne est cultivée sur les terres de Terra selon les meilleures pratiques. Nos équipes sur le terrain continuent chaque année de se perfectionner pour nous offrir une matière première de qualité exceptionnelle », poursuit Florence.

Une fois la canne récoltée et acheminée vers l’usine, pas de gaspillage ! Chacune de ses parties est utilisée pour un but bien précis. « La paille peut être utilisée dans les champs, ou, comme la bagasse, pour la production d’énergie renouvelable », explique-t-elle. Le pur jus de canne et la mélasse sont, quant à eux, réservés à la production de sucre et de rhum. « Terra ne produit que des sucres naturels et non raffinés, ce qui donne des sucres et rhums 100 % naturels », ajoute Florence.

Vient ensuite le moment de la distillation. « La mélasse ou le jus de canne fermentent ensuite avec de la levure, et ce durant une période de 30 à 35 heures », dit-elle. Le vin de mélasse ou de jus de canne obtenu après fermentation est distillé en colonne continue ou en alambic. Le maître distillateur peut ainsi y recueillir les composés les plus aromatiques pour créer les rhums qui se démarquent par leurs saveurs et leur créativité. « Nous avons une capacité de production de 7 millions de litres d’alcool pur par an, ce qui nous donne environ 30 000 litres journaliers », continue-t-elle.

Après la distillation, certains rhums sont vieillis. Cette étape est essentielle puisque c’est elle qui confère à chaque rhum ses arômes et son caractère propre. Chacun des fûts en bois de Grays apportent une touche particulière au rhum qui y séjourne. « Nous utilisons des fûts neufs en chêne français et américain pour leur complexité aromatique. Les fûts de Cognac et de Bourbon apportent quant à eux un côté onctueux et moelleux au rhum», explique Florence. D’autres fûts, comme les fûts de whisky, de vin ou de bois exotique, agrémentent les éditions limitées d’arômes insolites.

Enfin, vient l’étape d’assemblage, qui relève d’un art subtil d’équilibre des goûts. Avec une dilution lente au fil des années – sans sucre, ni additifs –, les rhums sont régulièrement évalués par le Maître de Chais pour déterminer les meilleurs assemblages. « Le vieillissement est complètement naturel, nous n’utilisons pas de colorants et ne filtrons pas à froid pour conserver et sublimer les saveurs naturellement présentes », souligne Florence. Une fois toutes ces étapes terminées, direction l’embouteillage !

Un savoir-faire doublement centenaire, qui ne cesse de se parfaire!

Si la culture de la canne est inextricablement liée à l’histoire de Maurice et qu’elle compte déjà quelques centaines d’années à son compteur, elle n’a jamais été aussi jeune ! Dynamique, elle évolue au fil des percées technologiques pour offrir une industrie moderne et innovante, notamment à travers l’agriculture de précision.

« L’agriculture de précision est un concept de gestion des parcelles agricoles basé sur l’utilisation d’outils technologiques pour l’acquisition et l’analyse de données agronomiques qui permettront des prises d’actions spécifiques adaptées à chaque parcelle. L’objectif : faire plus avec moins », commence Patricia Laurent-Ragavan, agronome à Terragri. Optimisation des coûts et des rendements grâce à une répartition judicieuse d’intrants tels que les engrais et pesticides, collecte de données en temps réel, meilleure connaissance des forces et des faiblesses de chaque parcelle… C’est en effet l’efficacité qui est visée, et ce à différents niveaux.

Côté plantation, de nombreux outils sont utilisés à différentes étapes. L’échantillonnage de la terre grâce à une tarière mécanique en est un premier exemple. « Chaque échantillon de terre est géoréférencé et, grâce aux résultats d’analyse de sol, chaque portion de la parcelle bénéficie d’une fertilisation sur mesure et non standardisée. Nous savons où et comment fertiliser cette portion de champ selon ses besoins », explique Patricia.

Sillonnés par des machines pourvues d’un GPS, les champs sont ensuite investis, au moment de la récolte, par des moissonneuses équipées d’un dispositif de surveillance de rendement (yield monitoring kit), permettant aux équipes de Terragri de visualiser, à travers une carte, la variation spatiale des rendements de canne d’une parcelle, et d’ainsi identifier les zones de vigilances dans lesquelles la productivité cannière est relativement basse.

« Une visite de terrain dans les zones de vigilance est effectuée pour un constat visuel et est, dans certains cas, couplée à un échantillonnage de sol ou de feuilles pour déterminer les causes potentielles du rendement relativement bas de la portion et y remédier », poursuit-elle. Cette carte de rendement est aussi essentielle quant à la fertilisation des champs puisqu’elle permet, depuis 2023, de recourir à une fertilisation de précision.

Fortes de leur approche, les équipes de Terragri ne se reposent pas sur leurs lauriers et n’ont de cesse de s’améliorer et de se moderniser. Si elles disposent d’un drone en interne, une collaboration avec un prestataire externe spécialisé en services de drone pour l’agriculture a été amorcée en 2023. Avec toute une flotte de drones et des pilotes experts, ce nouveau partenariat permet par exemple, d’organiser des survols de reconnaissance des champs pour la détection d’endroits où la canne ne pousse plus (gaps), ainsi que des zones d’infestation de lianes nécessitant une intervention ciblée.

Dans le cas d’infestations localisées de lianes, les drones permettent une application ciblée d’herbicide, optimisant ainsi l’utilisation de cet intrant. « Étant donné que le drone accède aux champs par voie aérienne, il est maintenant possible de contrôler les lianes poussant sur la canopée cannière, même lorsque la canne a atteint sa taille adulte, chose qui n’aurait pas été possible avec d’autres machines », souligne Patricia.

Ces équipements, couplés à l’imagerie satellitaire, sont des outils inestimables puisqu’ils permettent non seulement d’optimiser les opérations des équipes, mais aussi de gagner du temps en donnant une visibilité aérienne des parcelles qui dépassent de loin le champ visuel humain. « L’imagerie satellitaire nous permet par exemple, par le biais de certains indices de végétation, d’identifier des zones ayant une faible activité chlorophyllienne, et d’ainsi moduler les visites », ajoute-t-elle.

D’autres logiciels apportent de précieuses informations sur les passages d’eau dans les champs, ce qui est essentiel pour que l’aménagement du parcellaire soit réalisé de manière holistique, en considérant les bassins versants avoisinants. ​​« Ces données nous permettent de concevoir les passages d’eau (waterways) et de mitiger les risques d’érosion et de ruissellement accru pendant les averses qui mettent en péril la fertilité de nos sols sur le long terme », conclut Patricia.

Solution économique, interventions ciblées, gain de temps considérable, meilleur impact sur l’environnement… L’agriculture de précision a tout bon

Ouvert en 2023, The Strand est une réussite ! Derrière ce succès se cache une équipe dynamique et motivée qui s’assure chaque jour que cet espace commercial pas comme les autres réponde bien aux attentes de ses locataires. Steve Maudrame, Operations Manager de The Strand, nous en dit plus.

Après quelques mois d’opération, les retours sont unanimes : il fait définitivement bon travailler à The Strand ! Et pour cause : l’équipe des opérations, qui compte quatre collaborateurs passionnés, fait tout ce qui est en son pouvoir pour offrir aux locataires et visiteurs de l’espace commercial une atmosphère conviviale et résolument différente de ce qui se fait habituellement !

Chapeautés par Sarah Ah Hong, Office Manager de The Strand, et Steve, Elvina, Adrien et, depuis peu, Dolina sont tous les matins au rendez-vous pour accueillir les locataires. « Nous avons choisi, pour composer notre équipe, des personnes jeunes et dynamiques, actives et proactives. Nous croyons en elles et en leur potentiel, et nous sommes là pour les faire grandir », explique Steve.

Les matinées commencent toutes par une check-list bien ordonnée. « Nous vérifions avant tout que les bâtiments sont impeccables et prêts à recevoir les locataires, que les prestataires de services sont aussi sur place, et enfin que les équipements fonctionnent », poursuit-il. Si un problème est identifié, l’équipe doit alors tout faire pour régler la situation dans les plus brefs délais.

Vient ensuite l’accueil des locataires. « The Strand est beaucoup plus qu’un espace de bureaux, nous sommes là pour créer – mais aussi maintenir – une ambiance, des liens et même un sentiment de communauté », dit Steve. Cela commence parfois par une simple salutation amicale. « Nous nous concentrons sur les petits détails et attentions : c’est cela qui change la donne », ajoute-t-il.

Pour ce dernier, le challenge le plus intéressant reste la portée du contact humain. « Chaque locataire a sa propre culture d’entreprise. Notre but est, à travers nos actions, de créer des moments de partage et, en ce sens, une culture plus globale », explique-t-il. D’où la mise en place de certaines initiatives qui reflètent bien cette philosophie, telle que le book nest installé à la cafétéria.

« L’idée est d’approfondir et de renforcer les liens, d’imaginer des choses qui nous permettent de voir que l’autre en face de nous est bien plus que son travail, que cette personne a des loisirs et des préférences », dit Steve. Une démarche qui trouve de plus en plus écho chez les locataires. « Faire sourire nos locataires représente à chaque fois un succès pour nous » continue-t-il.

Pour ce dernier, la recette de cette réussite repose avant tout sur ses trois collaborateurs. « J’ai de la chance d’avoir une équipe passionnée et soudée, qui veut toujours aller plus loin », souligne-t-il. Et des projets, ils en ont beaucoup ! « Chacune de nos initiatives est portée par l’un de nos collaborateurs », explique-t-il. La prochaine, qui est pilotée par Adrien, sera dévoilée dans les mois à venir. Pour le moment, motus et bouche cousue !

En 2023, le groupe dévoilait, pour les 55 ans de l’indépendance de Maurice, une deuxième Tiny Forests au cœur de Bois Rouge. Un projet qui correspond entièrement à la philosophie de Beau Plan : un avenir plus vert et durable pour la région.

Cela fait déjà quelques années que le collectif Tiny Forest s’est lancé dans la conception de poches de verdure endémique et indigène. L’idée : recréer des espaces de flore proprement locale, des sortes de corridors écologiques qui pourront aussi accueillir la faune endémique.

En mars 2023, pour le 55e anniversaire de l’indépendance de Maurice, Terra, en partenariat avec les Forestry Services, marque le coup en dévoilant une deuxième Tiny Forests de 100 m2 au cœur de Bois Rouge, à côté du nouveau centre sportif du village (bientôt livré). Ce sont plus de 600 arbres, arbustes, buissons, plantes et fougères endémiques et indigènes qui y ont ainsi été plantés.

« Cette initiative reflète bien l’engagement de Beau Plan à réduire son empreinte carbone, mais aussi à régénérer la faune et la flore endémiques », explique Marie Annick Auguste, CSR Manager de Terra Foundation. En effet, ces forêts endémiques jouent un rôle primordial dans la capture du CO2, qui y est dix fois plus absorbé que dans une forêt normale.

Pour Emeric Vigier de Latour, Communications Manager de Novaterra, c’est aussi une contrepartie essentielle au développement de la région. « Nous abordons en effet tous nos développements de façon responsable et proactive. Cela passe aussi par une revégétalisation stratégique de la région », explique-t-il.

Plus qu’une simple initiative verte, cette démarche a aussi engagé la communauté locale. En effet, les habitants de la région, les élèves de Greencoast, les ONG, les représentants du District Council de Pamplemousses, les équipes des Forestry Services, ainsi que les employés du groupe Terra se sont tous empressés de mettre la main à la terre.

« Nous sommes redevables aux participants pour leur aide et leur effort quant à la création d’un avenir plus durable pour la région, mais aussi à travers l’île », dit Marie Annick. Une belle histoire qui ne compte pas s’arrêter là ! « Nous souhaitons proposer nos nombreuses zones non stratégiques dans et autour de la ville aux acteurs économiques qui viennent s’installer dans la région pour qu’ils puissent eux aussi créer leur propre Tiny Forest et réduire leur impact carbone ! », ajoute Emeric.

Une aventure qui devrait se poursuivre avec la création d’une troisième Tiny Forest par l’un des locataires de Beau Plan… Restez branchés pour plus d’informations !

Depuis sa naissance en 1931, Grays n’a jamais cessé de se surpasser et d’innover. Dans les années 80, la compagnie diversifie ses opérations en étoffant son portfolio avec de nouveaux produits de qualité… Une opération qui ouvre la voie à de nouveaux métiers, dont celui de Brand Specialist. Kelly Lee nous en dit plus.

Brand Specialist chez Grays Inc Ltd, Kelly s’occupe d’un catalogue bien rempli de marques de spiritueux. Son métier englobe de nombreuses tâches puisqu’elle s’occupe de la gestion de celles-ci de A à Z. « Nous devons, par exemple, gérer le budget, activer la marque dans les hôtels et les boutiques, faire des rapports pour les fournisseurs, ou encore organiser des évènements », explique-t-elle.

Et pour ces derniers, la créativité doit être au rendez-vous ! « Il faut toujours faire preuve d’imagination », dit-elle. L’année dernière, Kelly a par exemple organisé l’anniversaire de M. Jack en l’honneur des 177 ans d’existence du Jack Daniel’s. Au programme : des offres spéciales et un délicieux gâteau d’anniversaire aux couleurs de la marque !

Le travail de Kelly ne s’arrête pas là. « Nous nous occupons aussi de tout ce qui est visuel, comme les impressions sur papier. Nous devons nous aligner avec ce que font nos fournisseurs, mais aussi avec ce qui se fait sur le marché local », explique-t-elle. Un travail qui n’est pas sans son lot de challenges puisque Kelly s’occupe exclusivement de spiritueux.

« La prohibition des publicités sur les boissons alcoolisées nous force à toujours trouver des façons d’innover, à chercher des solutions pour lancer un produit qui ne peut se connaître que par le ‘word of mouth’ », souligne Kelly. Un métier plein de défis dont cette dernière ne se lasse pas ! « J’adore mon travail et j’aime les marques dont je m’occupe. J’apprends tous les jours et je n’ai pas le temps de m’ennuyer ! », plaisante-t-elle.

Un métier passionnant et particulièrement animé !

Qui dit nouvelle année, dit nouvelles résolutions ! Et Terragen ne déroge pas à la règle. Avec sa nouvelle charte, la centrale vise, comme chaque année, à améliorer ses processus. Asha Motur, QSE Manager à Terragen, nous explique.

Terragen n’a de cesse de s’améliorer : chaque début d’année, la centrale revoit sa charte en posant ses objectifs pour les mois à venir. « Nous repassons sur les évènements de l’année écoulée et revoyons nos priorités et nos objectifs pour nous perfectionner », explique Asha. Un travail perpétuel, mais primordial.

« Nous sommes certifiés ISO, ce qui signifie que nous devons toujours tendre vers l’excellence, que ce soit en matière de santé et sécurité, d’environnement, ou encore de qualité », dit-elle. Ainsi, chaque aspect de la centrale fait l’objet d’une enquête approfondie pour déterminer où celle-ci peut encore s’améliorer.

« L’année 2023 a été compliquée, avec un arrêt prolongé, la reprise en avril et un arrêt de maintenance très court avant la coupe », ajoute Asha. Côté sécurité, la centrale a connu un record avec quelque 1 050 jours sans accident avec arrêt, une performance qui a pris fin avec deux accidents mineurs survenus en août et en octobre.

« La sécurité est un point qui nous a toujours tenu à cœur. Nous avons donc revu nos procédés à la loupe. Pour 2024, nous renforcerons notre culture de santé et sécurité, avec une emphase particulière sur la gestion des risques », poursuit-elle. C’est aussi tout le système de sécurité incendie qui sera revu.

Parallèlement, Terragen continuera son engagement pour l’environnement à travers des mesures ciblées. « Les 80 à 90 tonnes d’eucalyptus que nous avons récoltées l’année dernière ont séché et nous effectuons actuellement des tests pour déterminer comment les utiliser au mieux », dit Asha. Cela passe par l’élaboration de stratégies techniques pour une combustion efficiente dans les chaudières et par l’obtention d’un tarif particulier pour la production d’énergie verte à partir de cette biomasse locale.

« Nous avons aussi enclenché un programme de maintenance renforcé sur nos écofiltres qui retirent les poussières des gaz de combustion ressortant de nos cheminées pour en améliorer leur fiabilité », continue-t-elle. Au niveau de la qualité, de nombreuses améliorations techniques sont au programme. « Suite à quelques soucis en 2023, certaines actions seront prises pour avoir entre autres des vannes en parfait état de marche et des balers efficaces, avec un faible taux de panne », dit Asha.

Les équipes de Terragen prennent ainsi en compte plusieurs améliorations dans ces trois domaines, une situation qu’elles comptent bien renforcer pour s’assurer du bon fonctionnement de la centrale. « Nous nous concentrons entièrement sur une maintenance préventive précise pour conserver non seulement nos standards, mais aussi aborder la période de la coupe en toute sérénité », conclut Asha.

Une approche responsable et réfléchie !

Depuis plus de 40 ans, Terra Milling excelle dans la production de sucres spéciaux. Cette aventure, qui a commencé par un heureux concours de circonstances, s’est transformée en une réelle passion. Aujourd’hui, l’usine compte une quinzaine de sucres spéciaux et en exporte quelque 85 000 tonnes par an. Une réussite qui se perpétue grâce à un travail rigoureux.

Demerara, Golden, Granulé, Muscovado, Sucre mélasse… À quel point ces sucres sont-ils différents du sucre que nous utilisons au quotidien ? « Ce que nous appelons les sucres spéciaux sont des sucres plus naturels, sans additifs, et qui possèdent certains arômes particuliers et une plus forte teneur en mélasse », explique Balvind Poye, Sugar Production and Bagging Manager chez Terra Milling Ltd.

Ces types de sucre se distinguent aussi les uns des autres ! « Ils diffèrent selon certains critères, comme leur couleur ou encore la taille de leurs grains », ajoute-t-il. Les sucres spéciaux se démarquent également par leur arôme gourmand : cannelle, miel, mélasse… Les équipes de Terra Milling ne cessent de faire preuve d’inventivité pour créer des produits hors du commun !

Cela explique la réussite de cette aventure : si Maurice est le premier producteur de sucres spéciaux au monde, les sucres spéciaux produits par Terra Milling sont présents dans une soixantaine de pays, et rencontrent notamment un franc succès en Europe et aux États-Unis. Quel est le secret de l’usine ? Selon Balvind, si les équipes sont mues par un constant désir de surpassement, c’est aussi une histoire de rigueur.

« En plus de miser sur l’innovation, nous mettons beaucoup d’emphase sur la qualité. Nous effectuons en ce sens de nombreux contrôles de qualité et d’analyses de laboratoire, et possédons une équipe spéciale pour s’assurer que toutes les normes sont respectées à chaque étape de la fabrication », explique-t-il. Et côté production ? « C’est un secret ! », plaisante-t-il.

« Nous continuons cependant à aiguiser notre savoir-faire et à améliorer sans cesse nos recettes », ajoute-t-il. Le résultat : un sucre non raffiné, riche en antioxydants, et au goût inégalable. Fabriqué sans produits chimiques, il est plus naturel et conserve d’ailleurs de nombreux minéraux importants pour le bon fonctionnement du corps.

À déguster sans plus tarder à L’Aventure du Sucre !

Début 2024, Novaterra dévoile son nouveau projet : Souvenir. Ce morcellement, situé à côté de Greencoast International School, promet de dynamiser encore plus la région de Beau Plan. Julie Merle, Sales & Leasing Executive chez Novaterra, nous en dit plus.

Pas de repos pour les équipes de Novaterra ! Une fois un projet entamé, c’est déjà un autre qui commence. Si en janvier le projet Clémentine était dévoilé, c’est au tour du morcellement Souvenir d’être lancé en février. Idéalement situé à l’arrière de Greencoast, il se compose de 58 terrains de 16 à 30 perches à un prix compétitif – entre Rs 4 900 000 et Rs 9 995 000.

« Souvenir représente une belle opportunité d’investissement. C’est un projet qui trouvera aussi écho chez les familles et jeunes couples étant donné son emplacement stratégique », explique Julie. À quelques pas de Isla Padel et des écuries de Mon Rocher, le morcellement sera aussi connecté à la ville de Beau Plan.

« Il sera en effet mieux desservi grâce à la seconde phase d’infrastructure de la ville qui sera bientôt lancée. Nous aurons, entre autres, une nouvelle route qui sortira du Mahogany Shopping Promenade et qui rejoindra l’entrée de Greencoast. D’autres projets viendront renforcer cette interconnexion dans la ville », ajoute-t-elle.

Situé dans un cadre urbain structuré et arboré, possédant toutes les facilités à proximité, Souvenir répond, comme tous les projets de Novaterra, à une impulsion de dynamiser la région, mais représente aussi un petit clin d’œil à son histoire. « ‘Souvenir’ est l’une des sections de Beau Plan. Nommer ce nouveau projet ainsi découle du fait que nous aimons célébrer l’histoire de la région, mais aussi faire vivre autrement les noms qui la caractérisent », conclut Julie.

Les réservations sont maintenant lancées sur le site: https://beauplan.mu/souvenir/